Crise de débauche avec des noirs pendant les vacances

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il y a 6 ans

La situation était tendue, entre Maryse, ma femme depuis dix ans, et moi. Depuis trois mois, nous enchaînions disputes sur disputes, toujours pour des raisons futiles et idiotes. Nous avions un sérieux problème. Aussi, nous conseilla-t-on de partir tous deux en vacances, loin d’ici, plutôt à l’étranger, pour nous retrouver.

C’est ainsi que nous nous retrouvons à la Guadeloupe, dans un hôtel haut de gamme. Pendant tout le voyage, ma femme avait dormi et je n’avais cessé de la regarder. En la voyant, abandonnée dans le sommeil, je me demandais comment ce tourbillon de v i o l ence avait pu nous emporter. Elle était belle, ma femme. Trente-deux ans, brune aux cheveux longs, yeux bleus, bouche pulpeuse. Elle mesurait un mètre soixante-dix, pour cinquante-neuf kilos, de longues jambes. Mais ce qui frappait le plus, chez elle, était sa poitrine. Quatre-vingt-dix, bonnet E. Des gros seins, aux aréoles foncées et aux pointes d’un demi-centimètre en érection. Je me sentais amoureux d’elle.

Tout se passa pour le mieux, les trois premiers jours. Nous ne quittions guère l’hôtel, le bar, la piscine. Même si ses tenues, minimalistes, me faisaient tiquer quelquefois, je ne disais rien. Je la sentais radieuse, heureuse des regards des hommes sur son corps.

La situation dégénéra le lendemain soir, vers vingt heures. Nous avions décidé, pour la première fois, de sortir et dîner ne ville. Lorsque je sortis de la salle de bains, elle était déjà habillée. J’ouvris grand les yeux et tout ce que j’avais retenu jusqu’alors sortit :

  • Tu ne vas pas sortir habillée comme cela, j’espère ? Lui dis-je, déjà énervé.

Elle regarda sa tenue. Elle avait passé un top, dos nu qui lui couvrait juste la poitrine, sans soutien-gorge dessous, bien entendu. Sa mini – micro – jupe en jean, s’arrêtait plus haut qu’à mi-cuisse. Je la trouvais très courte, trop courte. Nul doute que, dans la position assise, sa culotte serait parfaitement visible. Elle releva la tête et me regarda, étonnée :

  • Quoi ? qu’est-ce qu’elle a, ma tenue ? Elle ne te plait pas ?

Sa réponse était emprunte d’ironie agacée. Je ne vis pas venir le coup, car j’insistai.

  • Tu veux savoir de quoi tu as l’air ? D’une pute ! Tu as l’air d’une pute !

  • Merci, répondit-elle, d’une voix glacée. Ta femme est une pute ?

  • Ce n’est pas ce que j’ai dit !

  • Tu m’emm e r d e s, Benoit. Tu m’emm e r d e s ! On est à peine arrivés que tu me fais chier avec ma tenue. Durant toute l’année, tu ne cesses de me négliger. Tu ne me baises que de temps en temps, pas souvent. Et là, alors que l’on est en vacances, que je me fais belle pour toi, tu me traites de pute ? Tu sais quoi ? Vas te faire foutre ! Je me barre !

Et là, comme un con, au lieu de la retenir, de me jeter à ses pieds et lui demander pardon, je lui balançai v i o l emment :

  • C’est ça, barre-toi ! Vas te faire baiser par qui tu veux !

Elle empoigna son sac et sortit, en claquant la porte. Je restai seul, ressassant ma colère. J’entendis ses pas décroitre dans le couloir et le silence se fit.

A bout d’une heure, calmé, je décidai de partir à sa recherche. Je ne la trouvai pas dans l’enceinte de l’hôtel, pas plus au bord de la piscine, qu’auprès des trois bars de l’établissement. De plus, personne ne l’avait vue. Je finis par demander au réceptionniste, qui déclara avoir vu une femme brune, sortir en courant, par la porte principale. Elle semblait bouleversée.

Fort de ce renseignement, je me ruai à sa recherche. J’errai dans les rues, pendant trois heures, fouillant les bars, les restaurants, à commencer par celui où nous devions aller. En vain, Maryse avait disparu.

Je parvins enfin à la limite de la zone sûre. Après, le quartier devenait plus dangereux, surtout la nuit. Je pensai qu’elle n’était pas assez folle pour s’être engagée dans ce dédale de perdition. Alors, je fis demi-tour, l’âme ravagée par la peur.

Je jurai, si elle me revenait saine et sauve, de ne plus jamais la rabrouer sur ses tenues. Je jurai, croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais en enfer, de l’aimer, de lui faire l’amour tous les jours. Et même plusieurs fois par jour. Puis je me repris, me trouvant particulièrement prétentieux. Au bout d’une demi-heure, désespéré, je me décidai à rentrer à l’hôtel. Peut-être y était-elle, en train de m’attendre en pleurant ma disparition. Je me levai du sable où j’étais assis et longeai le plage pour retournai à l’hôtel.

Au cours de mon périple, du bruit et de la lumière attirèrent mon attention. Je m’approchai, voulant demander aux personnes présentes s’ils n’avaient pas vu ma femme.

Un rire cristallin, un rire que j’aurais reconnu entre mille me cloua sur place. Ce rire, j’en étais sûr, appartenait à Maryse. Je me rapprochai doucement du lieu d’où venait le rire. Je ne sais pourquoi, je n’osai pas me dévoiler brusquement. Je m’avançai doucement et me dissimulai derrière des buissons. Ma femme était effectivement là, mais pas seule. Avec elle, deux blacks d’une quarantaine d’années. L’un d’eux était installé à une table et buvait tranquillement un verre, pendant que l’autre, sur les planches, dansait avec ma femme. Enfin, danser était un bien grand mot. Ils se frottaient plutôt l’un contre l’autre, lascivement. Ma femme semblait avoir perdu toute inhibition. Lorsqu’elle se retourna, dos à l’homme, je vis les pointes de ses seins tenter de percer le tissu de son top. Elle semblait bien excitée, un peu ivre. Derrière elle, l’homme empauma ses seins et elle cambra les reins, feulant sous la caresse.

Bon s a n g , je ne pouvais pas laisser passer ça. J’allais sortir, leur casser la gueule à tous les deux, lui mettre une raclée, à elle et le ramener à l’hôtel. Ils allaient voir ce qu’ils allaient voir, tous ces salauds ! Pourtant, je ne bougeai pas. Ma lâcheté m’empêcha d’abord de faire un pas. Ils avaient l’air d’être beaucoup plus costauds que moi. Ensuite, mon corps eut une réaction bizarre, à laquelle je ne serai jamais attendu. Je me mis à bander. Voir ma femme se frotter à ce magnifique black me faisait bander. Pas possible. Ma femme allait me faire cocu, j’en étais sûr à présent, et ce, sous mes yeux, et cela me faisait bander. Quel dépravé je faisais.

Là-bas, dans la lumière, ma femme faisait de nouveau face à l’homme. Elle noua ses bras autour de son cou et leva le visage vers lui. Répondant à cette invite, le black se pencha vers elle et leurs lèvres se joignirent. Un long baiser, torride, les unit. Dans le même temps, je vis les main de l’homme descendre le long de la colonne de ma femme, flatter les fesses, puis s’insinuer sous la jupe. Maryse ne réagit pas lorsque l’homme remonta le vêtement jusqu’à la taille, dévoilant son cul somptueux, à peine voilé per une culotte haute quasi transparente.

Dans mon coin, je n’y tins plus. Je dégrafai mon pantalon, fit glisser mon shorty et empoignai ma bite tendue à craquer. Ensuite, je reportai mon regard vers eux.

L’homme pelotait les fesses de ma femme et j’entendais celle-ci ronronner de plaisir. Ils s’embrasaient toujours. Alors, le black se détacha, passant de nouveau derrière elle. Il saisit les bords de son top et le remonta, dévoilant les seins de Maryse. Afin de l’aider, elle tendit les bras au-dessus de sa tête. Le black fit passer le vêtement et ma femme se retrouva seins nus. Je ne pouvais m’empêcher de contempler cette poitrine, aux gros tétons turgescents, appelant la caresse. D’ailleurs, l’homme ne s’y trompa pas, puisqu’il s’empara des pointes et titilla de ses doigts. Ma femme se tendit sous la caresse, et je vis sa main se diriger vers la taille du gars. C’est alors que je vis la bosse qui déformait le pantalon du black. Elle me semblait monstrueuse, beaucoup plus grosse que la mienne, en tout cas.

L’homme cessa de se frotter à Maryse et vint s’assoir à la table, à côté de son camarade. Ma femme poussa une plainte de dépit et continua à onduler, seule, les seins nus et la jupe remontée, jusqu’à ce que l’un des deux blacks, l’interpelle :

  • Alors, petite salope blanche ? Tu as envie de goûter de la queue noire ?

  • Oh ! Oui, l’entendis-je répondre, d’une voix rauque. J’en veux !

J’en restai ébahi. Avec moi, au lit, elle faisait montre d’une réserve complète, voire d’un puritanisme complet. Et là, elle se lâchait. L’homme reprit :

  • Dis-le ! Dis que tu veux de la bite noire !

  • Oh oui ! Je veux de la bite noire ! Je veux vous sucer la queue !

  • Tu n’es qu’une pute blanche !

  • Oui ! Oui ! Je suis une pute banche, qui veut de la queue noire !

  • Alors, approche ! … mets-toi à genoux ! Voilà ! Donne-moi ta main !

L’homme prit sa main et la posa sur sa braguette, la faisant aller de bas en haut sur sa queue tendue. Au bout d’un moment, il reprit :

  • Allez, ma petite pute blanche, avant que l’on ne te baise, suce-nous !

Je vis les mains de ma femme descendre fébrilement la fermeture éclair, plonger dans l’ouverture et tenter maladroitement de sortit ce qu’elle tenait. N’y arrivant pas, elle dégrafa le pantalon et le fit glisser, ainsi que le slip, sur les cuisses de l’homme. Un bel engin lui sauta aussitôt aux yeux. Long d’une vingtaine de centimètres, peut-être plus, la queue se révélait aussi très épaisse, environ cinq centimètres de diamètre. Le gland avait l’air d’une grosse prune, prune que Maryse lécha un moment, avant de la prendre en bouche et de sucer la bite. Elle eut beau faire, elle ne put emboucher que la moitié de la hampe.

A côté d’elle, l’autre black se déshabilla, lui aussi. Sa queue valait celle de son compère. Je ne pouvais détacher mon regard de ces lèvres, montant et descendant le long de cette colonne de chair qui lui déformait la bouche. Sa main droite se leva, tâtonna un moment puis s’empara de la queue de l’autre homme. Elle commença à le branler. Au bout de quelques instants, elle changea, branlant celui qu’elle suçait, suçant celui qu’elle branlait.

Je n’en pouvais plus et je sentis la jouissance monter dans mes reins. Je lâchai ma bite, qui me semblait si petite, face à celles de ses deux amants. Trop tard. Sans que je le veuille, je sentis mon sexe palpiter et l’orgasme m’emporta. J’expulsai une quantité de sperme incroyable, comme jamais, et au moins à vingt centimètres de distance. A un moment, je crus même perdre connaissance. Lorsque je repris contenance, la situation avait changée.

Les deux hommes s’étaient déshabillés et je voyais leur formidable pieu, ainsi que leurs grosses couilles. Leur peau noire luisaient sous la lumière, celle de leurs queues, mouillées par la salive d’Emie encore plus. L’un d’entre eux prit ma femme et l’étendit sur la table, faisant valser les verres. Lorsqu’elle fut en position, il s’agenouilla entre ses cuisses et s’empara de sa chatte. J’entendais ma femme gémir de plaisir :

  • Oooooooh ! Ouuuuui ! C’est bon ! Bouffe-moi bien la chatte ! Rentre ta langue ! Ouuuuuui ! Comme ça ! C’est bonnnnnn ! Encooooore !

Je n’en revenais pas. Maryse, ma Maryse, si prude lors de nos relations, se lâchait avec ses amants. Ils devaient lui faire un sacré effet.

A moi, cela m’en faisait. De la voir se tordre sous les coups de langue de l’homme, de l’entendre dire des insanités m’avait fait rebander. J’étais ébahi. Jamais encore cela ne m’était arrivé. Je ré empoignai ma queue, testant sa dureté. Je fus une nouvelle fois surpris.

Là-bas, le deuxième homme, celui qui n’était pas occupé à la lécher, vint présenter sa queue à Maryse en lui disant :

  • Allez, petite pute blanche, suce-moi !

Ma femme ne se fit pas prier, embouchant le gros boudin noir. Elle effectua quelques succions, mais s’arrêta, trop tendue vers ce qui se passait entre ses cuisses. Alors, l’homme lui empoigna la tête et commença à baiser sa bouche à grand coups de reins. J’entendais les borborygmes de ma femme, pendant qu’il la baisait en bouche, et cela ne faisait que m’exciter un peu plus :

  • Urrrrgh ! Arrrrrgh !

  • T’aimes ça, salope de blanche ? T’aime te faire baiser la bouche par une grosse bite, hein ?

  • Arrrrrrgh ! Rooooh !

  • Qu’est-ce que tu dis, salope ? Articule !

Et il partit d’un grand éclat de rire, sans oublier de continuer ses coups de reins. Entre les cuisses de Maryse, l’homme se releva. Je le vis enfoncer deux doigts dans la chatte de ma femme, et, es sortant, les passer sur son land, afin de le lubrifier. Il s’avança et posa son gland à l’entrée de la chatte de ma femme. Puis, lentement, comme au ralenti, je le vis s’enfoncer en elle. Je retenais mon souffle, constatant la dilation de l’orifice de ma femme. Ensuite, l’homme commença de lents va et viens, s’enfonçant en elle jusqu’au plus profond, ressortant totalement puis réinvestissant la place asservie. Au bout d’un moment, les deux hommes échangèrent leur place et ma femme resta là, les cuisses grandes ouvertes. C’est alors que je vis sa chatte béante, dilatée par l’énorme queue qui l’avait prise.

Ce fut au tour de l’autre de s’enfoncer en elle. Ce coup-ci, il la baisa plus v i o l emment et je voyais ses seins ballotter sous les coups de bite. D’elle, j’entendais surtout les râles que laissaient passer la bite qu’elle suçait, ou plutôt, qui lui baisait la bouche.

  • Urrrrgh ! Arrrrrgh ! Arrrrrrgh ! Rooooh !

  • Elle aime ça, la salope ! dit l’un d’eux en riant.

  • Ouais, répondit l’autre. C’est une bonne pute ! Eh ! On change ?

  • OK !

Et ils inversèrent les positions. Ils échangèrent encore deux fois, puis, celui qui la baisait déclara :

  • Oh, petite pute blanche, je vais te remplir la chatte ! tu vas cracher du foutre par la moule ! Tiens, salope ! Prends ça ! Je jouiiiiiis !

Je vis, à ses coups de reins, qu’il se vidait dans le con de Maryse. Elle ne fit aucun geste pour le faire sortir. Pourtant, elle savait qu’il y avait un risque qu’elle puisse être enceinte, car elle ne prenait pas la pilule. Lorsque la bite sortit de sa chatte, je vis la semence de l’homme dégouliner de sa chatte sur la raie de ses fesses. Elle devait avoir reçu une bonne dose de foutre dans le vagin.

L’autre homme la fit se retourner et l’enfila en levrette. Aussitôt, je l’entendis délirer :

  • Oh, oui ! Baisez-moi ! Engrossez-moi ! Mettez-moi un polichinelle noir dans le tiroir ! Ce sera bien fait pour la gueule de mon cocu ! Oh ouuuuui ! Encooooore ! A fond ! fous-moi enceinte, salaaaauuud ! Ouuuuui ! Je jouiiiiiis ! Argggggggh !

Cette sortie me fit froid dans le dos et je débandai aussitôt. Ce n’était pas possible. Elle n’avait pu dire ça. Elle qui me répétait qu’elle ne voulait pas de gosse. Voilà qu’elle demandait à un parfait inconnu, de la mettre enceinte. D’ailleurs, ils avaient toutes les chances d’y parvenir, puisqu’ils n’avaient utilisé aucune protection, se vidant en abondance dans son vagin. Comment cela pouvait être possible ?

Me rhabillant, je quittai l’endroit et retournai à l’hôtel. Seul, sur le lit, dans la chambre, je ressassai les évènements. Je ne pouvais nier avoir pris du plaisir à voir ma femme se faire baiser par ces deux noirs. Toutefois, elle avait brisé l’ambiance en parlant de se faire mettre enceinte. Pour moi, il n’était plus question de rester avec elle. Dès demain, nous aurions une explication et je la quitterais.

Je tournai et me retournai dans le lit, pendant plusieurs heures, puis je finis par m’endormir. La porte de la chambre, s’ouvrant doucement, me réveilla. Etant tourné vers elle, je vis la silhouette de ma femme s’encadrer dans l’ouverture, puis le noir revint. Je ne fis pas un mouvement. Emile se dirigea vers la salle de bains et referma la porte derrière elle, avant d’allumer. Je profitai de son absence pour regarder l’heure. Quatre heures. Elle était donc restée avec eux, trois longues heures après mon départ.

Lorsque je l’entendis rouvrir la porte, je me retournai et fit semblant de dormir. Elle s’allongea près de moi. Je sentis sa main se poser sur ma hanche, puis se retirer. Au bout d’un moment, j’entendis de petits bruits venant d’elle, que je reconnus comme des s a n g lots. J’aurais voulu la prendre dans mes bras et la consoler, mais je me souvins de ses paroles, et je restai coi. Elle pleurait encore lorsque je me rendormis.

J e me réveillai tard, le lendemain matin. A mes côtés, Maryse dormait d’un sommeil agité. Je me levai, passai à la salle de bains, m’habillai et sortit discrètement de la chambre. J’appréhendais la confrontation. Car confrontation il y aurait. La situation ne pouvait rester en l’état. Et la seule solution que je voyais était le divorce. Jamais je n’accepterais de reconnaître un e n f a n t , noir de surcroit, puisqu’à aucun moment, je ne pourrais le faire passer pour le mien.

J’eus beaucoup de mal à avaler un thé, un jus de fruit et quelques toasts grillés. Je venais juste de terminer, lorsque je vis Maryse déboucher sur la terrasse. Elle avait la mine défaite et se mordait les lèvres. Elle se planta devant moi et me dit, d’une voix tremblante :

  • Benoit, il … il faut que … je te parle !

  • Eh bien, vas-y, fis-je sans la regarder, je t’écoute !

  • Pas ici. Dans la chambre ! S’il te plait ?

Sa voix se fit implorante et je me levai, la suivit dans les couloirs. Je remarquai qu’elle portait un robe arrivant au-dessous du genou, avec des ballerines. Comme la robe était dos nu, elle ne portait aucun soutien-gorge. Après être entré, je refermai la porte. Elle alla s’assoir sur un fauteuil et je pris place ne face d’elle. Elle me fixait avec un regard de chien battu, sans se décider à parler. Enervé, je lui dis agressivement :

  • Alors, qu’est-ce que tu avais de si important à me dire ? Tu veux me raconter ta soirée ? Tu t’es bien amusée ?

Je m’arrêtai soudainement en voyant les larmes dans ses yeux. Elle sécha ses yeux et me dit d’une voix tremblante :

  • S’il te plait, laisse-moi parler. Ne m’interromps pas. Lorsque j’aurai fini, tu auras tout le temps de parler, et tu décideras de ce que tu voudras faire. Sache que j’accepterai ta décision, quelle qu’elle soit. D’accord ?

  • D’accord ! Vas-y !

  • Voilà … Je … j’ai déconné, cette nuit … lorsque je suis partie, j’ai attendu un peu, dans l’hôtel, attendant que tu viennes me rechercher. Mais tu n’es pas venu. Ne crois pas que je t’en veuille. J’aurais pu simplement revenir à la chambre. Non ! J’ai préféré m’en aller. J’ai donc erré dans la ville, jusqu’au bout, près de la zone déconseillée, puis je suis rentrée par le bord de mer. A un moment, Je me suis assise sur le sable et j’ai pleuré. C’est alors que j’ai rencontré deux gars, deux gars d’ici. Ils étaient gentils et m’ont consolée. Ils m’ont emmenée chez eux et m’ont offert à boire. J’ai trop bu et, au fur et à mesure, mes défenses sont tombées. Ils étaient si charmants, si gentils avec moi. On a dansé, on a bu, on a parlé. Oh, je sais ce que tu pourrais dire. C’est vrai, j’ai bu, mais pas au point d’être saoule. Je savais ce que je faisais, je n’ai aucune excuse, sinon celle d’avoir besoin d’amour, de tendresse. De la tendresse, ils m’en ont donnée, du moins au début, avant …

Elle se tut, guettant ma réaction, qui ne vint pas. Elle reprit donc

  • A un moment, l’un d’eux a commencé à me dénuder. D’abord, en me soulevant la jupe et en me caressant les fesses, puis il a retiré mon top. A aucun moment, je n’ai tenté de l’n empêcher. Je savais ce qui allait se passer. Je l’attendais, je le voulais. Ils m’ont prises, tous les deux, chacun leur tour, plusieurs fois. Le pire … le pire, c’est que … qu’ils ont joui dans mon ventre, sans protection. Je … Je pourrais être enceinte … et … je les ai laissé faire … je les ai même encouragés. Je t’ai maudit et je … je leur ai crié de me mettre enceinte, pour te punir !

Elle se tut et me regarda, attendant que je parle. Elle se laissa aller au fond du fauteuil, remonta un de ses pieds sur le fauteuil, faisant remonter et glisser sa jupes sur ses cuisses. Le savait-elle ? Mais elle me dévoilait sa culotte rouge, entre ses jambes disjointes. Le fond de son sous-vêtement était plus foncé que le reste. Elle semblait excitée de m’avoir raconté son aventure.

Je la fixai sans parler, décidé à la laisser mariner quelque peu.

  • Voilà, reprit-elle, je t’ai tout dit. Tu sais tout. A toi de décider. Veux-tu que je reste, ou que je m’en aille. Il te suffit de le dire, j’obéirai !

  • Tu as été honnête avec moi, alors je vais l’être avec toi. Mais avant, je vais te poser une question. As-tu pris du plaisir avec eux ?

  • Ou … oui ! Beaucoup ! Enormément ! Ils sont si gros ! Ils me remplissaient le vagin comme jamais ! J’ai jouis comme une folle !

  • Mieux qu’avec moi ?

Elle eut un moment d’hésitation, puis dit :

  • Ce n’était pas trop difficile. Tu ne me touches plus ! Pas facile d’avoir un élément de comparaison !

  • D’accord ! Tu as raison. A moi, maintenant d’être honnête envers toi ! Lorsque tu es partie, j’ai mis presque une demi-heure, avant de me décider à venir te chercher. J’ai d’abord fait le tour de l’hôtel, les bars, la piscine, le restaurant, jusqu’à ce que le réceptionniste me dise qu’il t’avait vue sortir. Alors, je t’ai cherchée dehors. J’ai fait tous les bars, les restaurants, en vain. Je suis allé sur la plage, où je suis resté une demi-heure, au moins. J’étais désespéré. Alors, je me suis dit que tu étais peut-être rentrée à l’hôtel. Alors je suis rentré en longeant la mer. Et puis … en passant près d’un rocher, j’ai entendu un rire, ton rire. En m’approchant, je t’ai vue aguicher ces blacks. Je les ai vus te caresser, surtout un, te déshabiller. Je les ai entendus te traiter de salope, de petite pute blanche. Je t’ai vu rire et répondre à leurs demandes. Je t’ai vue les sucer puis te faire prendre, l’un en bouche, l’autre dans ta chatte. Je les ai vus changer tour à tour d’orifice.

  • Pourqu …

  • Pourquoi je ne suis pas intervenu ? Eh bien, parce que ça me plaisait de te voir avec eux. J’ai bandé comme jamais et j’ai joui sans même me toucher, pour rebander aussitôt. Et puis … il y a eu ta sortie, l’envie de te faire mettre enceinte par eux. Là, tout a chuté et je me suis rhabillé. Je suis rentré à l’hôtel et je t’ai attendue. Je t’ai entendue rentrer mais j’ai fait semblant de dormir. Je t’ai entendue pleurer, auprès de moi, mais je n’ai rien fait. Voilà, tu sais tout !

Elle avait la main devant sa bouche ouverte, sans qu’aucun son n’en sortit. Elle savait à présent que j’avais vu une partie de ce qu’elle m’avait raconté. Au bout d’un long moment où nous nous regardâmes en silence, elle me demanda :

  • Et maintenant ?

  • Pour l’instant, il ne faut pas que tu sois enceinte. Non ?

  • Si, tu as raison !

  • Allons voir un médecin, pour qu’il te donne une pilule du lendemain. Après, nous verrons !

  • Qu’est-ce qu’on verra ?

  • Je t’en parlerai après.

Dans le même temps, je me levai, la pris dans mes bras et posai ma bouche sur la sienne. Elle répondit à mon baiser, se serrant contre moi. Je sentis alors que nous avions franchi un cap et que nous allions voir les choses autrement.

Nous allâmes donc consulter un médecin. Bien sûr, nous ne lui parlâmes pas des aventures sexuelles de Maryse, avec les blacks, mais plutôt d’une rupture de capote avec moi. Lors de l’examen, si le médecin s’aperçut de quelque chose, il n’en laissa rien paraître. Nous ressortîmes une demi-heure plus tard, avec une ordonnance pour la pilule du lendemain. Après être passé à une pharmacie, nous nous asseyâmes à la terrasse d’un café. En face de moi, ma femme semblait épanouie, heureuse. Nous passâmes nos commandes de boissons et attendîmes que le garçon les apporte. Ma femme suivit du regard le bas du dos du serveur, comme j’avais vu ses yeux se porter sur la braguette du pantalon de l’homme.

  • Alors ? fit-elle, lorsque le garçon se fut éloigné, et qu’elle reporta son regard sur moi.

  • Alors quoi ? Répondis-je en souriant, désirant la laisser mariner quelques instants.

  • Te fous pas de moi ! Qu’entendais-tu par, on verra !

  • Tu sais, entamai-je, en la fixant dans les yeux, nous avons, tous les deux, pris un énorme plaisir, hier. Toi, à te faire …

  • A me faire baiser, dis-le franchement, conclut-elle, me voyant hésiter sur le terme.

  • Exact ! A te faire baiser, et moi à te regarder, que … je me demande … si …

  • Si quoi ? demanda-t-elle, souriante.

  • Si … tu …

  • Si je ?

  • Oh m e r d e ! Tu pourrais m’aider !

  • Non ! Débrouille-toi ! Alors, j’attends !

  • Je voudrais que tu recommences ! Voilà, c’est dit !

  • Avec eux ?

  • Avec eux ou avec d’autres. Je voudrais que tu te fasses prendre par d’autres hommes ! Que je te vois ! Que tu me racontes ! Voilà !

Elle resta un moment interdite. Elle me fixait de ses grands yeux écarquillés, la bouche légèrement ouverte. Je sentais que ma proposition le choquait, et, en même temps, l’excitait. Je me demandais anxieusement laquelle des deux sensations allait l’emporter. Finalement, ce fut avec soulagement que je l’entendis me répondre :

  • Tu es sûr de ce que tu veux ?

  • Oui, ma chérie !

  • Dans ce cas, je voudrais poser mes conditions !

  • Tes conditions ?

  • Oui ! Je veux être libre de choisir mon ou mes amants !

  • D’accord !

  • Tu n’auras aucune voix au chapitre !

  • D’accord, chérie !

  • Je serai libre de choisir si tu dois être là ou non. Si tu n’es pas là, je te promets de tout te raconter. Mieux, même, si c’est possible, je demanderai que l’on me filme. Comme cela, tu pourras te régaler !

  • Oh oui, chérie !

  • Moi seule choisirai, si tu as le droit de me baiser !

  • Hein ?

  • C’est à prendre ou à laisser ! Je n’aurai peut-être pas le temps de baiser avec toi, tu comprends ?

  • Je … D’accord ! Tout ce que tu veux, chérie !

  • Tu es sûr de toi ?

  • Oui ! J’accepte tout ! Merci ma chérie !

  • Tu es cinglé !

  • Oui ma chérie ! Je suis cinglé ! Je suis dingue de toi ! Tu étais si belle, avec les deux blacks d’hier ! Quel contraste, ta peau blanche, et leur peau noire !

  • Bien ! Rentrons à l’hôtel nous changer. Nous allons à la plage !

Ma femme se leva et je la suivis docilement. J’avais conscience d’être à un tournant de notre couple. Et ce tournant, c’était moi qui l’avait initié, voulu, provoqué.

Nous nous arrêtâmes de nouveau à la pharmacie où nous achetâmes des préservatifs grande taille, ce qui fit sourire la pharmacienne et moi, rougir, sous son regard goguenard.

Dans notre chambre, nous nous changeâmes. Je vis que Maryse n’enfilait rien, même pas un bikini, mais j’aurais mauvaise grâce à lui faire une remarque. J’avais désiré cette situation, je l’avais. A moi d’assumer. Elle passa une très courte robe, dos nu et chaussa des sandales de cuir.

Quant à moi, rien qu’à penser à sa tenue, je bandais. Lorsque je quittai mon slip pour passer mon maillot, ma femme jeta un regard sur mes attributs et ricana, en disant :

  • Dire que je croyais que tu étais bien monté ! Quelle rigolade ! Tu es une petite bite ! Tu vas pouvoir constater ce qu’est un vrai mâle ! Allez, dépêche-toi, cocu ! rhabille-toi, et tâche de ne pas trop bander. Tu es ridicule, comme ça !

Je passai mon maillot de bain, sous le regard amusé de ma femme. Je savais, bien sûr, que je n’étais pas si mal membré que cela. Environ seize centimètres, pour quatre de diamètre. Il était certain que je ne faisais pas le poids, par rapport à ses amants d’hier soir, sans pour autant être ridicule. Ensuite, je passai un short, qui ne put dissimuler entièrement mon érection. Maryse soupira, et sans me regarder, sortit de la chambre.

Je vis alors que ses fesses nues étaient particulièrement visibles, au travers de sa robe. Mon érection ne diminua pas et c’est sous les regards ironiques du personnel de la réception, que nous partîmes vers la plage. Elle loua une voiturette électrique. Je sus que nous n’allions pas sur des plages fréquentées habituellement par des européens. Elle se mit au volant et nous partîmes, quittant bientôt la ville. Nous roulâmes pendant près de quinze minutes, puis Maryse bifurqua à droite.

Je me demandais bien où nous allions, car, depuis que nous avions laissé la ville derrière nous, nous roulions dans la forêt. Enfin, en face de nous, je vis une trouée, trouée qui se révéla être une plage et au-delà, la mer. Il y avait peu de monde sur le sable. Et encore moins, dans l’eau. Maryse gara la voiturette sous un arbre et quitta ses vêtements. Elle était nue. Elle jeta un regard vers moi et me dit :

  • Alors, qu’est-ce que tu attends ! A poil, cocu !

Ce mot me m o r t ifia et m’excita en même temps. J’étais complètement bandé lorsque je quittai mon short et mon maillot. Je cachai mon érection derrière le sac de plage, contenant les serviettes, le caméscope, qu’elle m’avait fait emporter.

  • Ne cache pas ta bite ! Tout le monde doit voir que tu bandes, à l’idée d’être cocu !

Et, sans plus jeter un regard vers moi, elle se dirigea vers le milieu de la plage, où elle m’attendit. Lorsque j’arrivai, elle se saisit du sac, sorti sa serviette, et s’étendit dessus. Je m’installai à côté d’elle, dissimulant mon érection entre mes jambes serrées.

  • Qu’est-ce que je t’ai dit, siffla ma femme, en me claquant la cuisse, ne cache pas ta bite de cocu ! Ecarte les cuisses !

J’obéis si rapidement que ma queue claqua contre mon ventre, au moment où j’ouvrais les jambes. Je jetai un coup d’œil vers Maryse et je remarquai qu’elle passait en revue tous les hommes de la plage. La plupart d’entre eux étaient noirs, aussi nus que nous. Plusieurs d’entre eux semblaient particulièrement bien membrés. Leurs sexes, au repos, étaient aussi gros que le mien en érection. Naturellement, c’est vers ceux-ci que ma femme dirigeait son regard. Les hommes restaient à distance respectable, ne se gênant pourtant pas pour contempler les charmes que ma femme exposait à leurs regards.

Deux d’entre eux s’approchaient particulièrement, sans toutefois oser aborder Maryse, qui leur souriait. Voyant cela, elle me dit :

  • Prends le caméscope et retourne à la voiture. Tu attendras que je t’appelle, compris ?

  • Oui chérie ! Balbutiais-je, avant d’exécuter son ordre.

Je n’avais pas fait dix mètres, en direction de la forêt que les deux blacks se tenaient debout à côté de ma femme. J’entendis, sans me retourner, le rire cristallin de Maryse. Lorsqu’enfin, parvenu à la voiture, je me retournai, je vis les deux blacks, assis chacun d’un côté de ma femme.

J’hésitai à prendre le caméscope et à filmer la scène qui se déroulait devant moi. Je portai pourtant l’appareil à mon œil et réglai le zoom. Je voyais en gros plan ce qui se passait, et sans même m’en rendre compte, je commençai à filmer.

Là-bas, sur les serviettes, ma femme avait pris les deux bites dans ses mains et les branlait doucement. Je voyais ses petites mains monter et descendre le long de ces gros boudins noirs, qui ne cessaient de gonfler. Même d’où je me trouvais, ils me semblaient énormes.

Les deux hommes, sans perdre de temps, s’occupaient de Maryse. L’un d’eux pelotait ses seins, l’autre, dont je ne pouvais voir la manœuvre, puisque sa main était cachée par le corps de ma femme, devait s’intéresser à sa chatte, car elle écartait largement les cuisses.

Cela dura bien cinq minutes, pendant lesquelles je filmai, imaginant les soupirs de plaisir de ma salope de femme. Puis, l’un des hommes se mit à genoux devant Maryse, lui présentant sa bite à sucer, ce que fit ma femme, aussitôt. Je m’aperçus bientôt qu’elle ne pouvait pas en engloutir plus de la moitié. Ils étaient bien mieux montés que ceux d’hier.

Pendant ce temps, l’autre s’était installé entre les cuisses de Maryse et il n’était pas difficile, au vu des déhanchements de ma femme, de deviner ce qu’il y faisait. Grâce au caméscope, et à son zoom, je ne perdais rien de ce qui se passait sur le sable. Ma queue était dure comme du bois et je crois qu’il n’aurait pas fallu grand-chose pour que je jouisse, sans même me toucher.

Me femme parla aux deux hommes, puis, se tournant vers moi, me fit signe de venir, mimant le mouvement de tourner. Je ne me fis pas prier et m’avançai. C’est à ce moment seulement que je m’aperçus que d’autres personnes mataient le trio, de plus près que moi. Ils étaient à trois mètres, environ. Je m’approchai, la queue raide et le caméscope à l’œil. Lorsque je fus proche, ma femme enfila un préservatif à l’un des blacks, se mit en levrette et lui demanda de l’enfiler à fond.

Je m’approchai d’eux et filmai la pénétration. En gros plan, je voyais le gros mandrin noir distendre les lèvres de la chatte de ma femme, s’insinuer dans le vagin, ouvrant ma femme en deux. Dommage que je ne puisse filmer le visage d’Emile, à ce moment, car cela aurait sans doute valu le coup, tant elle haletait sous la pénétration. L’homme attendit quelques instants, puis se retira doucement. La luisance de la hampe sortent de la chatte de ma femme montrait son excitation.

  • Oh, bordel ! fit ma femme, qu’elle est grosse ! Il va m’exploser la chatte ! Mon trou ne va jamais se refermer ! oh, s’il te plait ! Baise-moi ! Baise te femelle ! Vas-y !

Encouragé, l’homme la prit aux hanches et commença à la bourrer. Ma femme délirait, la bouche ouverte. Elle prononçait des paroles obscènes, que je n’avais jamais pensé entendre de sa bouche :

  • Oh, putain, qu’elle est grosse ! Baise ta salope ! Baise-moi bien ! Eclate-moi la chatte ! Je vais rester le trou béant ! Vas-y, Bourre-moi, bourre ta pute ! Défonce-moi l’utérus !

Comme un automate, le black baisait ma femme. Ses coups de reins déclenchaient un bruit de succion, à chaque fois qu’il se retirait. Maryse, au bord de la jouissance se mit à délirer :

  • Oh, quelle grosse bite ! Pas comme celle de mon cocu ! Elle me défonce la chatte ! Mon vagin va devenir un gouffre ! Arrrrgh ! Je … Je viennnnns ! Je jouissssssss !

Je continuai à la filmer et je fis un gros plan sur son visage. Les yeux révulsés, elle bavait, bouche grande ouverte, le cou tendu en arrière par la main qui tirait ses cheveux, l’obligeant à se cambrer.

Enfin, elle se calma, posa sa joue sur la serviette, pendant que l’autre continuait à la baiser. Enfin, il se tendit et je le vis jouir. Je filmai en gros plan la sortie de la bite. Un tiers de la capote était remplie de sperme, un quantité incroyable. L’homme se releva retira le préservatif et le présenta à la bouche de ma femme. Un instant surprise, elle finit par ouvrir les lèvres, et l’homme versa le contenu de la capote sur la langue de Maryse, qui avala le tout, avec gourmandise. Cela fait, il jeta le morceau de plastique sur ma serviette, et se dirigea vers la mer.

Aussitôt, le deuxième black étendit ma femme sur le dos, enfila un préservatif et la pénétra, sans autre forme de procès. A nouveau, je filmai la saillie, qui fut aussi irréelle, que la précédente. Je voyais encore mieux la chatte distendue de ma femme, écartelée par la grosse bite noire. A chaque mouvement, je voyais ses lèvres intimes aspirées puis rejetées par le membre qui baisait la chatte. Ma femme ne tarda pas à gémir et à délirer :

  • Hummmmmm ! C’est bon ! Ramone-moi la chatte, mon salaud ! Encore ! Elle est grosse ! J’aime les grosses bites ! Encore ! Je viennnnnnns ! Je jouis ! Je jouiiiiis ! Arghhhhhh !

Pour la deuxième fois, ma femme connut une orgasme démentiel. Le visage déformé par la plaisir, la chatte remplie par l’énorme queue de son amant, elle jouissait, rebondissant d’orgasme en orgasme. Jamais encore, je ne l’avais vue ainsi. Je la filmais, fasciné par la v i o l ence de sa jouissance.

L’homme, enfin, donna un dernier coup de reins et se déversa en elle. Une fois qu’il eut joui, il se retira d’elle et, comme l’autre, lui fit boire son sperme, en lui déversant dans la bouche, le contenu du préservatif. Ensuite, il quitta ma femme, rompit le cercle et alla se laver dans la mer.

Maryse, elle, totalement impudique, était étendue sur le dos, cuisses écartées, chatte béante. Elle respirait rapidement, comme en sortie d’apnée. Je demandai aux voyeurs de nous laisser seuls, ce qu’ils firent, certains à regret, espérant peut-être la baiser.

Lorsque nous fûmes seuls, je m’agenouillai entre les cuisses de ma femme et filmai la chatte dégoulinante de sa mouille. Elle était si ouverte, que je voyais le col de son utérus. Doucement, j’approchai ma main de sa chatte, caressai son clitoris. C’est à peine si elle réagit.

  • Baise-moi, murmura-t-elle. Baise-moi, si tu le peux !

Je posai le caméscope et m’approchai de sa chatte. Je la pénétrai doucement. Ma queue ne touchait pas les bords. Je fis quelques va et viens totalement inutiles, car je ne sentais rien. Puis je pris une nouvelle position, pubis remonté très haut, la hampe frottant contre le pubis et le clitoris de Maryse. Elle se laissa faire sans un geste. Il ne me fallut pas longtemps pour jouir et je me retirai pour éjaculer sur son ventre. Plusieurs de mes jets de sperme atteignirent ses seins. L’un d’eux atteignit même son menton. Jamais, au grand jamais je n’avais joui aussi fort. Et il avait fallu que je sois cocu pour connaître cela.

  • Ramène-moi à l’hôtel, chéri ! Je suis m o r t e ! Me demanda-t-elle doucement.

Je la relevai, lui remit tant bien que mal sa robe et la portai jusqu’à la voiturette. Quinze minutes plus tard, nous rentrions dans notre chambre. Il avait fallu affronter le regard amusé des employés, qui avaient feint de croire que Maryse avait pris un coup de soleil, mais ils n’avaient pas été dupes, puisque j’avais entendu l’un d’eux susurrer :

  • Un coup de soleil ? Un coup de bite, plutôt ! Et pas qu’un, à mon avis !

Je fis celui qui n’avait rien entendu et je quittai l’accueil, toujours portant à moitié Maryse. Dans la chambre, je la déshabillai et la fit se doucher. Ensuite, je la couchai et la laissai dormir.

P endant qu’elle dormait, je me mis à penser. Qui avait bien pu lui parler de cette petite plage où nous étions allés ? La Guadeloupe n’ayant qu’une plage naturiste connue, et ce n’était pas celle-ci. Il y avait d’ailleurs peu de monde, et elle était plutôt petite.

Je ne voyais que deux solutions : la première, ses deux amants, de la veille. Cela n’avait aucune conséquence. Ou alors, les employés de l’hôtel. Je comprenais mieux leurs sourires goguenards et leurs commentaires grivois.

Pour passer le temps, je visionnai le film que j’avais fait ce matin, lorsque ma femme s’était fait baiser par les deux noirs. Comme je ne disposais pas du câble le reliant à la télé, je n’avais que le petit écran pour suivre les ébats de Maryse. Ce n’était guère pratique et j’abandonnai bien vite, détournant mon regard vers ma femme. Elle dormait sur le ventre, jambes légèrement écartées, une remontée, genou plié, l’autre tendue. Je voyais, dans la fourche de ses cuisses, sa toison brune et sa fente. En la voyant si serrée, j’avais du mal à croire qu’elle ait pu accueillir des engins comme ceux des noirs de ce matin. Ils étaient bien plus gros que ceux de ses amants d’hier.

Je me mis à penser à notre couple. Certes, j’y avais trouvé, moi aussi, mon compte, mais où tout cela allait-il nous mener ? Je trouvais que Maryse commençait à prendre un peu trop goût à ces grosses queues noires. N’allait-elle pas me délaisser, au profit de ces amants ? Jusqu’où allait-on aller ? Ne trouvant pas la réponse, je quittai la chambre et allai à la piscine.

Lorsque je revins, vers seize heures trente, Maryse se réveillait. Elle s’étirait comme une chatte, sur le lit, faisant saillir ses seins, cambrant ses reins, offrant son pubis. Nue, elle se leva et vint vers moi. Elle s’aperçut tout de suite de mon trouble.

  • Que se passe-t-il, mon chéri ? demanda-t-elle, en minaudant.

  • Je … Je … voudrais savoir où on va ?

  • Où on va ? Comment cela ?

  • Oui ! Toi et moi ! Comment tout cela va se terminer ?

Elle me fixa un moment, s’assit en tailleur devant moi, dévoilant son minou, et répondit :

  • Je ne sais pas ! Mais je n’ai pas envie que cela s’arrête ! J’adore me faire baiser par ces grosses queues noires. Je jouis comme jamais !

  • Mais …

  • Il n’y a pas de mais. C’est toi qui nous as mis dans cette situation. Tu m’as poussée dans les bras de ces noirs, alors assume ! Au fait, ma période de fécondité est passée. Je devrais avoir mes règles d’ici quelques jours. Je vais pouvoir me faire baiser sans capote, je te préviens.

Abasourdi, je ne trouvai rien à répondre. Je me pris la tête dans les mains, pendant qu’elle se dirigeait vers la salle de bains. J’avais ouvert la boite de Pandore, j’en récoltais les résultats. Je m’approchai de la porte de la salle de bains. Maryse était sous la douche, qu’elle quitta bientôt. Elle s’essuya partout. Soudain, je la vis saisir un peigne, qu’elle passa dans sa toison à plusieurs reprises. Cela fait, elle s’empara d’une paire de ciseaux et commença à tailler sa toison, jusqu’à ne laisser qu’un fin duvet. Ensuite, elle prit un rasoir et ma mousse à raser, qu’elle étala sur les poils restants.

Il ne lui fallut que cinq minutes pour enlever tous les poils et raser son mont de vénus. Elle se rinça et se plaça devant moi.

  • Qu’est-ce que tu en dis ? me demanda-t-elle, devant mon air ahuri. De toute façon, ce n’est pas pour toi. C’est pour Chris.

  • Qui … qui est Chris ? demandai-je d’une voix éteinte.

  • Mon amant d’hier. Je le revois ce soir.

  • Ah !

  • Ferme la bouche, mon pauvre Benoit, tu vas avaler une mouche. Au fait, tu es invité !

  • In … invité ? Pour quoi faire ?

  • Pour te présenter à Chris. Comme cela, il connaîtra mon cocu.

  • Je n’ai pas trop envie d’y aller !

  • Allez, ne fais pas ta mauvaise tête ! fit-elle, d’un ton cajoleur.

Et une fois de plus, je cédai. Je la vis revêtir un string, puis une robe dos nu, dont les bretelles se liaient au cou.

A vingt et une heures, nous quittâmes l’hôtel pour nous rendre dans une boite. Dès l’entrée, je reconnus le fameux Chris. Il était accompagné par son compère, et nous fit un signe de la main. Déjà, je regrettai d’être venu. Emile embrassa Chris, qu’elle me présenta, et son compère Thomas, dis Tom. Elle ne s’installa pas à mes côtés, mais entre les deux noirs. Ceux-ci ne tardèrent pas à m’ignorer, comme ma femme d’ailleurs. Je la voyais minauder, rire aux éclats des paroles qu’ils lui glissaient à l’oreille, caresser la peau luisante des deux hommes. Elle buvait beaucoup, même trop. J’aurais voulu me lever, l’arracher aux mains qui pelotaient ses seins, flattaient ses cuisses, remontant jusqu’à la lisière de la culotte, l’entraîner avec moi jusqu’à l’hôtel, pour la baiser sauvagement sur le lit. J’aurais voulu … oui, mais j’étais trop lâche. Alors, je restai là, moi le cocu magnifique, regardant ses deux hommes faire preuve de plus en plus de privautés envers ma femme.

Maintenant, ils l’embrassaient, tour à tour. Maryse avait décroisé les jambes, les écartant au point que je voyais sa culotte. Les mains n’avaient pas encore atteint ce point crucial, mais ce n’était que partie remise. Elles s’attardaient sur ses seins, ses hanches son dos.

Soudain, Chris se leva et entraina ma femme sur la piste de danse. Tout de suite, il se colla à elle et je pus la voir passer ses bras au cou de son amant. Elle se frottait lascivement contre son corps et je savais qu’il bandait. Lorsque leurs corps se détachaient quelque peu, je pouvais voir la bosse qui déformait le pantalon de l’homme.

Au bout d’un moment, Tom, qui ne m’avait pas adressé la parole, ni jeté un regard, se leva et les rejoignit sur la piste de danse. Maryse se retrouvait, non pas avec un homme, qui la collait, mais deux. Je la voyais, toucher tantôt l’un, tantôt l’autre, les embrasser tour à tour, laisser leurs mains courir sur ses seins, ses fesses. Ce spectacle me fascinait et me dégoûtait en même temps, et il me fallut un long moment, pour me rendre compte que je bandais.

Ils dansèrent ainsi pendant près d’une heure, oubliant le pauvre cocu que j’étais. Lorsqu’ils revinrent à la table, ils burent leur verre et recommencèrent à sa mignoter, comme si je n’étais pas là.

Il était près de vingt-trois heures, lorsque Chris, se leva, tendant la main à ma femme. Celle-ci se mit debout, se pencha vers moi et hurla pour se faire entendre :

  • Nous allons chez Chris. Tu viens ?

  • Non, répondis-je de même, j’en ai marre. Je rentre !

Je saisis ma sacoche, et quittai le bar avec eux. Dehors, nous nous séparâmes, eux se dirigeant vers le véhicule de Chris, moi, seul, partant vers l’hôtel. J’eus un pincement au cœur en voyant ma femme me quitter sans un regard.

Lorsqu’ils tournèrent au coin de la rue, je partis en courant, empruntant un raccourci, afin d’arriver avant eux chez Chris et me dissimuler au même endroit que la dernière fois. Je n’y étais pas plutôt installé, qu’une lumière s’alluma dans la maison, suivie, quelques instants après, par l’illumination de la terrasse. On y voyait comme en plein jour, plus que la première fois.

Je n’attendis pas longtemps, avant d’entendre la porte fenêtre glisser, d’entendre le rire de ma femme, et la voir surgir, suivie des deux hommes.

  • Alors, petite pute blanche, contente d’être débarrassée de ton cocu ? Lui dit Chris.

  • Oui, mon chéri ! Il semblait vous bloquer ! Tu sais, j’aurais bien voulu que vous me baisiez devant lui !

  • Ah bon ! En attendant, fous-toi à poil !

  • Je ne peux pas !

  • Tu ne peux pas ?

  • Non ! fit-elle, en riant, j’en ai plus !

  • Tu t’es épilée la chatte ?

  • Eh oui !

  • Montre !

  • Doucement les gars ! On regarde mais on ne touche pas ! Pour l’instant !

En se déhanchant langoureusement, Maryse commença à tourner sur elle-même, jouant à faire glisser le string, tantôt vers le haut, le rentrant dans ses fentes, tantôt vers le bas, dévoilant sa motte rasée. Bientôt, le sous-vêtement aboutit sur ses chevilles. D’un geste souple, elle glissa une jambe hors du string, puis d’un mouvement de pied, envoya son vêtement en direction de Chris, qui le saisit au vol, le portant à ses narines.

  • Hum ! fit-il, ça sent la femelle en chaleur !

Ma femme éclata de rire, en continuant de se déhancher. Plusieurs reprises, je la vis se tourner vers moi, sachant où je me cachais, prenant plaisir à m’exhiber ce que je ne pourrais avoir, sa chatte et son cul. Enfin, Chris demanda, excité :

  • Allez, petite pute blanche, viens sucer deux grosses bites black.

Sans hésiter, elle s’agenouilla et rampa, à quatre pattes, vers les deux mâles. Elle déboutonna les braguettes et sortit, avec un peu de mal, les deux queues, les tenant chacune dans une main. J’avais beau les avoir déjà vues, je restai subjugué par leur taille. Maryse avait raison, rien à voir avec la mienne.

Lentement, elle les branla, avant de les avaler, l’une après l’autre. Les deux hommes avaient pris leurs verres et sirotaient tranquillement leur boisson, pendant que ma femme les suçait. Comme elle me tournait le dos, je voyais, ses fesses et son trou du cul, chaque fois qu’elle descendait et que ses globes s’écrasaient sur ses jambes.

Je n’en pouvais plus. Je me tenais là, voyeur de ma femme, pantalon et slip sur les chevilles, queue raide, prête à exploser. Je n’osais me toucher, de peur d’éjaculer tout de suite.

Là-bas, dans la lumière crue, les deux hommes s’étaient levés et se déshabillaient. Je voyais leurs queues, luisantes de salive, balancer au rythme de leur déshabillage. A leurs pieds, ma femme ne quittait pas des yeux les engins qui allaient la défoncer, la faire hurler. Elle semblait en extase. Lorsqu’ils furent nus, ils se rapprochèrent de Maryse, l’incitant à les reprendre en bouche, ce qu’elle fit avec gourmandise et célérité.

  • Oh, la vache, fit Tom, elle aime cela, la salope !

  • T’as raison, mec. Une vraie pouffe pour bite noire ! N’est-ce pas, que tu es une pouffe pour bite noire ? Renchérit Chris, en retirant sa bite de la bouche de ma femme.

  • Oui !

  • Dis-le !

  • Oui ! Oui ! Je suis une pouffe pour bite noire !

Les deux hommes éclatèrent de rire, pendant que ma femme embouchait à nouveau la queue de Chris. La séance dura une dizaine de minutes, puis Chris se dégagea et s’étendit sur le sol. Il ordonna ensuite à ma femme :

  • Allez, empale-toi sur ma queue !

Maryse ne se le fit pas dire deux fois. Elle saisit le mandrin, et pliant les genoux, descendit pour faire entrer la bite dans sa chatte. Le gland en contact avec ses lèvres, elle le fit coulisser doucement tout au long de sa chatte, avant de l’engloutir, d’un mouvement uniforme.

Dans ma cache, je voyais ce sexe noir disparaître entre les lèvres blanches. Enfin, elle fut à genoux, le sexe entièrement fiché en elle. Déjà, je la voyais haleter sous la grosseur de la pénétration. Lentement, elle commença à monter et descendre le long de la bite de Chris. C’est alors que Tom se plaça derrière elle. Je le vis sucer ses doigts et caresser la raie de ma femme. Que voulait-il faire ? J’eus rapidement la réponse, en entendant ma femme gémir doucement :

  • Oooooooh ! Chris, il m’encule avec ses doigts !

  • Tu n’aimes pas ?

  • Oooooooh ! Si ! Qu’est-ce que vous vous me faites ? C’est si bon ! Encoooooore !

  • Attend ! Tout à l’heure, quand tu seras bien ouverte, c’est sa queue, qu’il te mettra !

  • Oooooooh ! Non ! Ça ne rentrera pas ! Vous allez me déchirer !

  • Mais si, tu verras ! Ça rentrera ! Tu vas prendre un pied phénoménal !

  • Oh ! Nooooon ! Ouiiiiiii ! Encore ! Tes doigts ! Encule-moiiiiii !

  • Vas-y salope ! Couine tant que tu le peux, lança Tom, en riant. Je vais t’enculer jusqu’aux amygdales et tu ne pourras plus parler !

Je ne voyais pas combien de doigts fouillaient le fondement de Maryse, mais, au vu des crispations de son corps, ils devaient y en avoir au moins trois. J’eus bientôt la confirmation par Tom, qui dit à Chris :

  • Oh, la vache ! Je l’ai bien ouverte. Elle est béante ! Au tour de ma queue, maintenant !

  • Oh non, s’il te plait, Tom, pas ça ! Parlementa Maryse. Tu es trop gros ! Tu vas me défoncer !

  • Ah, ça, c’est sûr ! Mais avec le trou ouvert comme ça, ça va passer ! Prépare-toi !

  • Chris ? tenta encore une fois ma femme.

Je sentais, dans le ton de sa voix, combien elle en avait envie, et en même temps, combien elle craignait cette pénétration. Je vis Tom enduire sa queue d’un lubrifiant, puis passer le reste sur l’anus de ma femme. Ensuite, il s’agenouilla derrière elle et présenta son gland contre son anus. Il commença à f o r c e r pour s’introduire en elle. Tout de suite, elle commença à haleter et gémir.

  • Ooooooh ! Que tu es gros ! Arrrrête ! Tu es trop gros ! ooooooooh ! ooooooui ! ça y est ! Oh Tom ! Tu m’encules ! Oh, c’est énorme ! Doucement ! Tu es … Aaaah ! Ouiiiiiii ! Vas-y ! Défonce-moi le cul ! Baisez-moi, tous les deux ! Bourrez votre salope blanche !

Les deux hommes ne se firent pas prier. Tout d’abord, ils eurent du mal à coordonner leurs mouvements et se gênaient. Puis, ayant trouvé la bonne cadence, l’un d’eux la pénétrait au moment où l’autre sortait. Les râles d’Maryse étaient suffisamment explicites pour montrer combien elle aimait cela.

  • Arghhhhhh ! Oh mon dieu, que c’est bon ! Ooooooooh ! Encore ! Je suis une enculée, une pouffe pour bite noire ! Encore ! Plus foooooort !

Les deux hommes ne se firent pas prier. La cadence augmenta et je voyais ma femme rebondir sur les membres qui la baisaient. Elle était semblable à une tranche de jambon, entre deux tranches de pain. Entre leurs mains, prise par leurs queues, elle ressemblait à une poupée désarticulée, rebondissant, coup de rein après coup de rein, sur les bites qui la baisaient en cadence. Elle délirait. Jamais encore je ne l’avais vue ainsi. C’est alors que je commençai à comprendre l’erreur que j’avais commise. Mais il était déjà trop tard. Le mal était fait.

Là-bas, sur le sol, Maryse se lâchait :

  • Arghhhhhh ! Oh ouiiiiiii ! Encore ! Plus fort ! Je viens ! Je vais jouir, baisée et enculée ! Je viennnnnnnns ! Aaaaaaaaah !

Sa jouissance éclata, v i o l ente, intense. Elle se tétanisait, se désarticulait, sautait, d’orgasme ne orgasme, sans arrêt. Si elle n’avait pas été empalée sur des queues longues et grosses, nul doute qu’elle aurait été désarçonnée.

Au même moment, je sentis la sève monter dans mes couilles et je me libérai, sans même me toucher. Pour moi aussi, la jouissance fut douloureuse.

Dans la lumière, Tom était en train de se libérer dans le cul de Maryse, avec un grand râle. Il resta un moment immobile, toujours planté en elle, puis il se retira doucement. Au moment du passage du gland, je crus entendre un plop sonore. Aussitôt, je vis un filet de sperme s’écouler du cul de ma femme. Elle eut beau serrer ses fesses, son trou était trop ouvert pour retenir ce qui était en elle.

Tom se releva et dit :

  • Il faut que j’y aille ! Salut Chris ! Amuse-toi bien avec ta salope !

  • Salut mec ! Bonsoir à ta femme !

Pas un mot gentil pour ma femme. Je me doutais, que pour eux, elle n’était qu’un vide-couilles, un morceau de viande. Puis, lorsque Tom, rhabillé, les eut quitté, Chris libéra Maryse et, la prenant par les cheveux, la f o r ç a à le suivre, à quatre pattes, vers la maison.

  • Allez, viens, salope ! J’en ai pas encore fini avec toi ! D’ailleurs, je te garde toute la nuit. Tu vas déguster, dit-il, en la faisant avancer.

Je les vis disparaître dans la maison, fermer la baie vitrée, et éteindre toutes les lumières du rez de chaussée. Peu de temps après, n’ayant plus rien à voir, je me rhabillai et quittai le lieu, peu rassuré sur ce qu’allait subir ma femme.

D e retour à notre chambre, je me déshabillai, pris une douche et me couchai. J’eus du mal à m’endormir, songeant à notre situation, de plus en plus compliquée et difficile. En effet, j’avais pu constater l’addiction de ma femme à ces grosses bites noires qui l’avaient ravagée, tant la chatte que le cul. Je commençai à me demander si elle serait capable de revenir à des tailles plus conventionnelles. Rien n’était moins sûr. D’ailleurs, les différentes remarques qu’elle m’avait distillées au cours de la journée m’orientais vers la continuation. Je prenais peur. Allait-elle rester ici, à se faire baiser par des noirs ? Allait-elle rentrer avec moi ? Dans un cas comme dans l’autre, je savais que je ne pourrais pas l’empêcher de s’adonner à son nouveau vice, vice que j’avais bêtement encouragé. J’avais, comme je l’avais pensé précédemment, ouvert la boite de Pandore et je devais en assumer les conséquences. Je finis par m’endormir, d’un sommeil agité et perturbé. A plusieurs reprises, j’émergeai, pour constater l’absence de ma femme.

Enfin, je me levai à treize heures. Maryse n’était toujours pas revenue. Où était-elle ? Encore avec Chris ? Sans aucun doute. Résolu à en air le cœur net, je pris une douche m’habillai et me pressai vers la villa. Tout était calme. Je ne vis personne. Seul, le string oublié de ma femme, trônait au milieu de la terrasse. Rien ne bougeait à l’intérieur. Je restai là quelques instants, attendant un signe de vie. En vain.

Je me résolu à aller faire un tour en ville. Peut-être étaient-ils déjà levés et se promenaient, où prenaient un verre. Lors de ma promenade en ville, j’eus l’impression que tous ceux que je croisais étaient au courant de mon infortune et souriaient. Je cherchai en vain. En désespoir de cause, je louai une voiturette électrique et allai jusqu’à la plage. Sans résultat.

Au fur et à mesure que le temps passait, mon angoisse montait crescendo. A dix-neuf heures, lorsque je retournai vers la villa, pour la nième fois, je tremblais. Je devais avoir l’air d’un fou. Qu’avais-je fait ? J’avais poussé ma femme dans les bras d’un noir, rectification, de plusieurs noirs et elle avait disparu. Qu’en avait-il fait ?

Aux abords de la villa, je me cachai toujours au même endroit, épiant le moindre signe de vie. Enfin, la baie vitrée s’ouvrit et Chris parut. Mais il n’était pas seul. L’accompagnait, un couple, black, de son âge. L’homme était grand, athlétique, la femme était mince, petit seins, fessier cambré. Si l’homme portait chemisette et pantalon, la femme était vêtue d’un top très court, s’arrêtant au-dessous des seins, et d’un short, si court et si serré que sa chatte marquait le tissu et, lorsqu’elle se retournait, on pouvait voir au moins un quart de ses fesses nues. Chris devisait avec eux :

  • Vous êtes les premiers arrivés, comme toujours !

  • C’est un reproche ? dit la jeune femme, en riant.

  • Non, non Sarah ! Au contraire ! Cela me permet d’admirer ta plastique parfaite ! Toujours aussi jolie !

  • Ne crois pas t’en tirer avec une vile flatterie, Chris. Il va te falloir faire mieux !

  • N’aie crainte, chérie. Je vous ai concocté une surprise dont vous me direz des nouvelles !

  • Qu’est-ce que c’est ?

  • Curieuse ! Si je te le dis, ce ne sera plus une surprise ! De plus, tout le monde n’est pas là, et tu sais que je n’aime pas me répéter !

  • Okay ! J’attendrai !

  • Qui y aura-t-il ? Demanda l’homme, enlaçant sa compagne.

  • Tom, Mika et Sonia, Barack et Martine, Rashan, Billy. Trois femmes, sept hommes.

  • Plus la surprise ! renchérit Sarah, en souriant.

  • Qui sait ! rétorqua Chris, en éclatant de rire. Tu verras bien !

Pour moi, caché dans mon bosquet, il n’y avait plus aucun doute. Ma femme constituait la surprise. Je me sentis soulagé. Soulagé de la savoir ici, mais inquiet de la voir livrée à tous ces hommes, et peut-être, ces femmes, aussi. Pourtant, je bandais dans mon pantalon, d’une érection incontrôlée, douloureuse. Je dus dégrafer ma braguette et sortir ma bite congestionnée.

Sur la terrasse, Chris demanda au jeune couple de se mettre à l’aise. Aussitôt, lui-même quitta ses vêtements, imité par le couple. Je connaissais déjà la plastique de Chris, aussi, me focalisais-je sur celles de ses invités, et plus particulièrement, sur la jeune femme. Elle quitta son haut, dévoilant de petits seins haut perchés, aux pointes turgescentes très longues, brunes, plus sombres que le reste de sa peau. Les deux tétons étaient ornés de barrettes scintillantes. Lorsqu’elle quitta son short, j’eus la vision d’une toison brune, frisée, bien taillée, dévoilant un espace entre le pubis et le sexe. Je pus voir que le capuchon du clitoris était percé, lui aussi, mais d’un anneau. Entre ses cuisses, l’espace libre dévoilait de grandes lèvres, longues, plus longues que celles de ma femme. Elle me fit penser à une liane.

L’homme lui, était d’un noir plus foncé que sa compagne. Des muscles puissants, sans être gros. Ce qui me frappa, ce fut la taille de sa queue. Il ne bandait pas, mais elle était encore plus longue que celle de Chris. Plus longue, mais pas plus grosse, semblant rendre quelques millimètres en largeur. Fasciné, je regardais ce couple, évoluer nu devant moi, sans aucune pudeur. Il est vrai qu’ils ignoraient ma présence.

D’autres personnes arrivèrent et se mirent nues, elles aussi. Bientôt, tous furent là. Mon regard glissait sur les corps d’ébène. Plus particulièrement, celui des femmes. Les deux autres femmes étaient plus dodues que celle qui s’appelait Sarah. L’une d’elle, Martine, était même ronde, avec de gros seins, du cent D, à première vue, habillée en quarante-deux, quarante-quatre. Son mari, Mika n’était pas en reste, avec son ventre proéminent, ses cuisses fortes, son double menton. Ce couple détonnait, au milieu, de toutes ces personnes minces. Leur seul point commun était leur âge.

Enfin, Chris donna le signal de réjouissances. Je n’avais pas encore vu ma femme, mais ce ne devait être qu’une question de minutes.

  • Mes amis, commença-t-il, profitez du buffet. Mangez, buvez, amusez-vous. Dans quelques instants, comme je vous l’ai promis, il y aura une surprise ! Je vous laisse un instant, le temps d’apporter la surprise !

Et il quitta la terrasse, rentrant par la baie vitrée, disparaissant à l’intérieur. Son absence dura cinq minutes. Lorsqu’il revint, avant de franchir la baie, il tira les rideaux, masquant la vitre. Je n’avais plus aucun doute. Ma femme allait apparaître dès qu’il ouvrirait les rideaux. Chris claqua des mains, attirant l’attention de tous les convives, moi y compris. Tous les yeux se portèrent sur les rideaux tirés.

  • Mes amis, déclara-t-il, je vous avais promis une surprise. Je tiens ma parole ! Veuillez accueillir celle qui va égayer notre soirée !

D’un geste théâtral, il tira les rideaux et … ma femme apparut. J’eus quelques instants de flottement. Etait-ce bien elle ? Devant la baie, se tenait une femme blanche, juchée sur des escarpins à talons de dix-huit centimètres, entièrement recouverte d’une cape noire. Elle a les yeux aveuglés par un masque noir. Ses cheveux étaient coiffés en queue de cheval.

Chris la prit par la main et la fit s’avancer quelque peu. Passant derrière elle, il dégrafa la cape et la laissa glisser à terre. Maryse, car c’était bien elle, apparut, les jambes gainées de bas noirs à jarretière rouge. Sur ses cuisses, des jarretières les tendaient, sans faux plis, fixées à une guêpière en cuir, noir et rouge. La taille serrée et rétrécie au maximum, elle semblait respirer difficilement. En haut, la guêpière s’arrêtait sous les seins, s’évasant afin de les soutenir et les mettre en valeur. Le haut de la guêpière ressemblait à un soutien-gorge dont on aurait retiré la toile des bonnets, laissant uniquement l’armature. La base des seins était enserrée dans ce soutien-gorge et se gonflaient plus encore. C’est alors que je remarquai qu’elle avait les mains attachées dans le dos.

Tous les invités regardaient ma femme avec envie. Chris reprit la parole :

  • Vous voyez, les amis, je ne vous avais pas menti. C’est une salope blanche. Elle aime la bite black. N’est-ce pas, petite pute ?

  • Oui, mon chéri !

Je sursautai. C’était la première fois que je l’entendais appeler Chris ‘mon chéri’. Cela marquait une incontestable évolution de leur relation. Je ressentis un terrible coup au moral. Pourtant, je reportai mon regard sur les convives.

  • Qu’est-ce que tu es ?

  • Je suis une pouffe pour grosses bites blacks. Et aussi, pour chattes blacks.

  • Mes amis, elle est à vous. Amusez-vous bien !

Quelle ne fut ma surprise de voir, après un moment de flottement, Martine s’approcher de ma femme. Doucement, elle flatta sa hanche, faisant coulisser ses doigts sur la peau fine. Maryse tressaillit, puis se cambra sous la caresse. La main glissa de la hanche au pubis glabre et de deux petites claques sèches, lui fit écarter les jambes. Deux doigts s’insinuèrent doucement dans sa chatte et leur propriétaire commença à les faire coulisser en elle. Maryse gémit et tendit le ventre, s’empalant encore plus sur les doigts. Enfin, la black ressortit ses doigts luisants et les porta à la bouche de ma femme. Sans hésiter, celle-ci les suça goulûment.

  • Alors, comme ça, la petite blanche aime les chattes noires, dit la femme.

  • Oui madame, répondit Maryse.

  • Tu en as déjà goûté ?

  • Non, madame. Mais j’aimerais beaucoup !

  • Qu’est-ce que tu en sais ? Allez, mets-toi à genoux, petite pute !

Précautionneusement, ma femme s’agenouilla. Lorsqu’elle fut à genoux, Martine approcha son ventre du visage de ma femme, sans la toucher. Elle lui lança :

  • Prouve-le ! Lèche-moi la chatte ! Fais-moi jouir, salope !

Je vis alors ma femme avancer sa bouche, tirer la langue et commencer à lécher la chatte de la noire. Elle semblait vraiment y prendre du plaisir. La femme debout aussi, d’ailleurs, puisqu’elle commença à onduler du ventre.

C’est alors que son mari entra en scène. Il poussa sa femme à s’assoir sur une chaise, cuisses écartées. Il obligea Maryse à reprendre son cunnilingus et lui fit écarter les cuisses. Il caressa un moment les lèvres de sa chatte puis l’enfila d’un seul coup. Sous l’assaut, j’entendis ma femme feuler, le nez dans la toison de la noire. A chaque coup de rein, l’homme envoyait le visage de ma femme s’écraser contre le pubis de la femme, ce qui la faisait gémir. La saillie dura une dizaine de minutes, pendant lesquelles ma femme ne put émettre que des borborygmes incompréhensibles. Soudain, je vis les deux noirs se tendre et ils se mirent à jouir ensemble, l’un dans la chatte et l’autre, dans la bouche de Maryse. Complétement asservie, aveugle, elle se contenta de subir. J’étais sûr qu’elle n’avait pas joui, malgré le plaisir pris.

Aussitôt, le premier homme sorti, un autre le remplaça. Il fit avancer ma femme et appuyer son buste sur la chaise. Désormais, il n’y avait plus de femme à lécher. Il enfila Maryse en une seule fois et se mit à la baiser à grands coups de reins. Il ne recherchait que son plaisir. Pourtant, j’entendais ma femme gémir sous les coups de boutoir de l’homme. Cette fois-ci, lorsqu’il se répandit en elle, je la vis onduler des hanches, signe qu’elle allait jouir. Ce ne fut pas pour cette fois. Il semblait qu’ils avaient décidé de la baiser sans lui permettre de jouir. J’en eus la certitude, lorsqu’elle dit :

  • Faites-moi jouir, par pitié ! Baisez-moi ! Enculez-moi ! Mais laissez-moi jouir !

  • Ta gueule, salope, répondit un homme, que je ne pus identifier. Tu n’es qu’une pute, un vide-couilles. On se fout pas mal que tu jouisses !

Maryse se tut. Elle venait de se rendre compte de sa situation. Moi aussi, par la même occasion. La conversation reprit :

  • Eh, Chris, pourquoi t’en ferais pas une pute ? Je suis sûr qu’elle rapporterait !

  • C’est pas le moment ! En ce moment, comme tu l’as dit, ce soir, elle n’est qu’un vide-couilles, une broute-minou. Et puis, tu sais, j’ai pas l’âme d’un maquereau !

  • T’inquiète, je connais quelqu’un que ça pourrait intéresser ! Si tu veux !

  • Pour l’instant, baisez-la, enculez-la. On verra plus tard.

En regardant ma femme, je vis qu’elle frissonnait. De plaisir, ou de peur ? Quelle pouvait bien être ses pensées depuis l’énoncé de cette phrase. De mon côté, je redoutais qu’elle me quitte.

Je n’eus guère le temps de gamberger. Je vis un des hommes, la queue raide et luisante, s’approcher de ma femme. Il avait se passer un produit lubrifiant et je me doutais de ce qu’il allait faire. Il s’agenouilla derrière elle, lui fit relever le cul et la pénétra d’une seule poussée. Ma femme cria de douleur, mais ne chercha pas à échapper à la sodomie. L’homme lui crocha les hanches et se mit à la besogner. A chaque coup de rein, le ventre de l’homme venait claquer sur les fesses de mon épouse, dont le crâne cognait contre le dossier de la chaise.

Maryse semblait subir cette v i o l ente sodomie, avec plus de résignation que de plaisir et j’en fus triste pour elle. Pourtant, elle me trompait. Heureusement pour elle, cela ne dura pas trop longtemps et l’homme se déversa en elle, d’un dernier coup de rein rageur. Malheureusement, un autre prit sa place et l’encula avec la même vigueur.

Tous les hommes se succédèrent dans son cul, et, lorsque le dernier fut passé, ils l’abandonnèrent une nouvelle fois à son sort. De là où j’étais dissimulé, je voyais son anus béant, qui laissait s’écouler des filets de sperme blanc.

Enfin, la soirée prenait fin. Un couple s’était déjà rhabillé et avait pris congé. C’est alors qu’un des hommes, le premier qui l’avait baisée, lança :

  • Et si on la baisait à trois, cette pute !

  • A trois ? Fit un autre.

  • Ouais ! Elle a trois trous, si je ne m’a b u s e !

  • Ah d’accord ! On y va ! Je prends la bouche !

  • Moi, la chatte !

  • Eh bien, fit le dernier, il ne me reste que le cul !

  • Allez, salope, en position !

Il empoigna ma femme e la fit se redresser. Elle semblait épuisée et se laissa manipuler comme un pantin. L’homme la plaça au-dessus de la queue que son copain tenait verticalement et la fit s’empaler dessus. Ensuite, la faisant se pencher sur la poitrine de l’homme qui la baisait, il l’encula sans vergogne. Le troisième homme vint présenter sa bite devant la bouche de Maryse. Devant son manque de réaction, il la saisit par les cheveux et enfourna sans ménagement son membre entre les lèvres.

  • Ça y est ? On y est, tous les trois ? Fit-il.

  • Ouais, répondirent en chœur les deux autres.

  • Alors, bonne bourre, les gars !

Et il commença à la baiser en bouche. Ma femme émettait des borborygmes, incapable de parler, avec un tel morceau dans la bouche. Dans ses autres orifices, les deux hommes avaient réussi à coordonner leurs mouvements.

Quel ne fut pas ma surprise, de voir les haches de ma femme onduler sous la pénétration. Elle aimait cela, la salope, et réagissait aux trois pénétrations. Je l’entendais gémir, de plaisir, cette fois-ci, ce que ne tarda pas à constater celui qu’elle suçait d’elle-même, maintenant.

  • Eh, les gars, elle aime cela, la salope. Elle me bouffe la queue, comme si sa vie en dépendait.

  • Putain, qu’est-ce qu’elle bouge son cul sur ma queue, fit celui qui l’enculait.

  • C’est sûr, lança le troisième, elle en veut, cette pute !

  • Alors, on va lui en donner, cria une des femmes, spectatrice jusqu’à présent, viens Sarah, on va les aider.

Elle s’agenouilla à côté de ma femme, faisant signe à Sarah de faire de même de l’autre côté. Aussitôt, elles s’emparèrent des seins de Maryse, et en titillèrent les pointes. J’entendais ma femme délires sous l’effet des caresses et des queues qui la baisaient.

  • Huuuuuu ! Arghhhhhh ! humphhhh !

C’était les seuls mots intelligibles qu’elle proférait. Enfin, si l’on pouvait appeler ça des mots. Bientôt, je la vis se crisper. Un orgasme v i o l ent, intense, la traversait, et, si elle n’avait été bloquée par les femmes et celui qu’elle suçait, nul doute, qu’elle serait écroulée.

Une fois la jouissance passée, elle resta immobile, anéantie. Les trois hommes ne tardèrent pas à se répandre en elle, puis à se dégager. Libérée, elle chuta en avant, cognant le sol du front, ne pouvant se rattr a p e r, les mains toujours attachées dans le dos. Les hommes se relevèrent, la laissant ainsi, sur le ventre, cuisses écartées, chatte et cul béants et suintant le sperme qu’ils y avaient déversé.

  • Putain, qu’elle était bonne, la salope ! fit l’un d’eux en se rhabillant, t’es sûr que tu ne veux pas en faire une pute, Chris ?

  • Je t’ai déjà dit que je n’avais pas l’âme d’un mac. De plus, je te rappelle qu’elle est mariée !

  • Tu parles ! Avec un de ces gros cons de blancs. Avec une petite queue.

  • Peut-être ! Mais c’est à elle de choisir !

  • Depuis quand les putes ont-elles le choix ?

  • T’es chiant, lança une des femmes. Allez, on rentre. Tu viens ?

  • Ok ! J’arrive !

Dix minutes plus tard, il ne restait que Chris sur la terrasse. Il vint vers Maryse, lui retira les menottes et l’aida à se redresser. Ma femme passa ses bras autour du cou de l’homme et dit doucement :

  • Pas … pas la pute, Chris ! Pas la pute !

  • On en reparlera plus tard ! Pour l’instant, une douche te fera le plus grand bien ! Tu as aimé cette partouze ?

  • Ou … oui ! Mais toi, tu ne m’as pas baisée !

  • Non ! Ce soir, tu étais le cadeau de mes amis ! Allez, viens ! A la douche !

Je le vis la soulever dans ses bras et la mener à l’intérieur. Au fur et à mesure de leur progression, je voyais les lumières s’éteindre. Bientôt, il ne resta que celle qui devait être la chambre de Chris. La m o r t dans l’âme, je me résolu à rejoindre mon hôtel. Nous partions dans trois jours et je ne savais rien de ce qu’avait décidé ma femme, quand à son avenir

De retour dans ma chambre, je n’eus aucune envie de visionner le film des ébats de Maryse que j’avais enregistré. Je pris donc une douche et me couchai. J’eus beaucoup de mal à m’endormir, ressassant sans cesse les paroles de cet homme, qui voulait en faire une pute. Bien sûr, j’entendais aussi Maryse demander à Chris de ne pas en faire une prostituée. Mais je commençais à connaître l’addiction de ma femme aux grosses queues, et particulièrement, celles des noirs. Et cela me faisait peur. Je finis par m’endormir d’un sommeil agité.

Lorsque je me réveillai, il faisait jour, et je sentis une présence à mes côtés. Je me tournai vivement et ne put retenir un cri de surprise. Maryse, ma Maryse, ma femme, dormait à mes côtés. Et dire que je ne l’avais pas entendue rentrer. J’étais fou de joie. Et en même temps, je m’en voulais, de ne pas avoir été là lorsqu’elle était rentrée.

Elle dormait, allongée sur le dos. Je voyais les marques des menottes sur ses poignets, mais ne constatai aucun autre sévice. Je ne pouvais accéder à ses orifices intimes et je me levai, pour aller déjeuner. Elle bougea dans son sommeil, écartant les jambes, dévoilant son intimité. Elle me semblait rouge, quelque peu irritée, mais je ne pus rien voir d’autre. Je quittai rapidement la chambre et allai prendre un rapide petit déjeuner.

Lorsque je revins, Maryse n’était plus dans le lit. Mon cœur manqua un battement, avant que j’entende un bruit venant de la salle de bain, où je me précipitai. Ma femme était là. Jambes fléchies, elle tentait d’introduire un tampon hygiénique dans son vagin tuméfié. Elle leva les yeux vers moi et reprit sa tentative, en disant, comme si cela n’avait pas été évident :

  • J’ai … j’ai mes règles !

  • Tu veux que je t’aide ? fut tout ce que je fus capable d’articuler.

  • Non, surtout pas ! J’ai la chatte en compote. Ça fait mal ! Ouchhhh ! Ça y est !

  • Ma pauvre chérie, fis-je, en la prenant dans mes bras et en l’embrassant dans les cheveux.

Elle se blottit contre moi et murmura :

  • Tu m’en veux ?

  • De quoi, mon amour ?

  • De … de tout ça !

  • Tout ça quoi ?

  • De m’être donnée à tous ces hommes !

  • Tu sais, j’ai aussi ma part de responsabilité, là-dedans !

  • Peut-être ! Mais je n’étais pas obligée d’accepter ! Je … je me suis vraiment comportée comme une pute ! Ce gars avait raison !

  • Mais non, ma chérie ! Tu as simplement tenté une expérience ! Est-ce que ça t’as plu ?

  • Viens ! Retournons sur le lit, pour en parler !

Elle vint se blottir dans mes bras, posant sa tête sur ma poitrine et commença :

  • Si ça m’a plu ? Je dois dire que oui. Jamais encore je n’avais ressenti de telles choses. A chaque fois qu’une de leur grosse queue me prenait, je me sentais remplie, le cul ou la chatte dilatée au maximum. Cela me faisait jouir comme jamais. Excuse-moi si je te vexe, mais cela n’avait rien de commun avec toi … même hier soir, alors que je n’étais qu’un objet, pour eux, un vide-couilles, un morceau de viande, j’ai aimé. J’ai aimé ces saillies v i o l entes, bien que je sois crevée … et surtout, la partie finale, lorsqu’ils m’ont prise à trois et que les deux femmes s’occupaient de mes nichons. J’ai jouis comme jamais. J’ai même pensé, à ce moment-là, que je pouvais mourir, j’avais connu l’orgasme suprême … tu … étais là, jusqu’au bout ?

  • Oui !

  • Tu as filmé ?

  • Oui !

  • Tout ?

  • Tout !

  • Oh, m e r d e ! Tu dois te dire que je suis une belle salope ! Je t’ai fait cocu !

  • Je crois que j’étais pour le moins d’accord !

  • Qu’est-ce … qu’est-ce qu’on va faire ?

  • De quoi tu parles ?

  • De … de nous deux ! Tu veux divorcer ?

  • Pourquoi ?

  • Je … non, rien !

  • Tu sais, c’est plutôt à toi de choisir !

  • A moi ?

  • Oui ! Tu veux aller retrouver Chris, où rester avec moi ?

  • Tu … tu veux bien de moi ? Après tout ce que j’ai fait ?

  • Je crois avoir une bonne part de responsabilité dans tout cela. Si je n’avais pas cédé, à ton idée de revoir Chris, et les autres.

  • Alors, on reste ensemble ?

  • Si tu le veux !

  • Oh, mon chéri, merci ! Merci ! Je t’aime !

  • Moi aussi, ma chérie !

Nous nous unîmes dans un long et langoureux baiser, que nous n’interrompîmes qu’à bout de souffle. Maryse ne pouvait ignorer l’érection qui frottait contre sa cuisse. Elle s’empara de ma bite et la serra fort entre ses doigts.

  • Excuse-moi, mon chéri, dit-elle, mais tu ne vas pas pouvoir me baiser, mes règles. De plus, mon cul est trop sensible, même pour ta petite queue … Oh pardon ! il te reste ma bouche. Elle n’a pas trop souffert ! Tu veux ?

Elle n’attendit pas ma réponse et emboucha ma modeste queue, enfin, modeste, par rapport à ce qu’elle avait eu l’habitude d’avaler ces jours-ci. Excité comme une puce, je ne tardai pas à jouir dans sa bouche, et elle avala toute ma semence.

  • Eh bien, c’était rapide ! Tu devais avoir une sacrée envie !

  • Moi, je ne me suis pas soulagé depuis hier, pendant ta partouze !

Tenant toujours ma queue dans la main, elle se rallongea contre moi. Nous restâmes un moment sans rien dire, puis elle dit, d’une voix timide:

  • Il faut que je te dise quelque chose …

  • Oui ?

  • Je … je ne sais pas si je pourrai me passer de grosses queues !

  • Tu veux dire, en métropole ?

  • Oui ! Je …

  • Comme le disait Chris, tu es devenue une pouffe pour grosses bites noires ?

  • Oui ! Mais pas seulement ! Je crois que j’aime toutes les grosses bites !

  • Ah ! Et …

  • Comment cela va se passer, de retour à Paris ?

  • Cela t’inquiète ?

  • Oui !

  • Est-ce que … tu voudrais que je t’aide ?

  • M’aider ? A quoi ?

  • A trouver des grosses queues !

  • Tu ferais cela ?

  • Pourquoi pas ?

  • Mais comment ?

  • D’abord, je pense que je pourrais trouver ça dans mon entourage !

  • Ton … ?

  • Oui. Mes amis, mes collègues. Tu sais, il y a des beurs, dans nos connaissances. On dit qu’ils sont plutôt bien montés, eux aussi ! Et puis, si cela ne te suffit pas, il y a internet !

  • Internet ? Tu crois ?

  • Ouais ! On créera un site, dont tu seras la vedette. D’abord ton annonce, quelques photos explicites, peut-être des vidéos, et le tour est joué ! Tu veux ?

  • Je ne sais pas ! Je peux réfléchir encore ?

  • Bien sûr ! Tu sais, nous ne rentrons que dans trois jours ! Après, nous aurons encore deux jours, avant la reprise du boulot. Donc, tu as le temps !

  • Merci, mon chéri !

  • Et Chris ?

  • Je ne retournerai pas là-bas ! Je pense avoir fait le tour de notre relation. D’ailleurs, je pense que je ne rencontrerai mes partenaires, si cela se fait, pas plus de deux ou trois fois. Et encore !

  • Eh bien, il va falloir que j’en trouve beaucoup !

  • Salaud ! Tu penses que je suis nymphomane ?

  • Pas toi ?

  • Non ! je ne veux pas me faire baiser tous les jours ! Une séance par semaine, peut-être deux !

  • Ah bon ? C’est tout ?

  • Salaud ! Tu te fous de moi !

Elle sauta sur moi en riant. Nous luttâmes un moment, puis épuisés, nous nous étendîmes à nouveau. Je sentais son cœur battre contre ma poitrine. Enfin, nous semblions avoir trouvé un nouvel équilibre. Notre horizon s’éclaircissait, même si je devais me faire à l’idée de devoir la partager, avec d’autres, beaucoup d’autres.

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